ven.

20

avril

2018

Des traits dans le ciel

Je roulais en direction de Paris en ce vendredi de mai. Le ciel bleu, dénué de nuages était strié de toutes parts de longues lignes droites blanches. J’en fis la remarque à mon épouse assise à côté de moi. Elle me dit penser qu’il s’agissait des traces de fumées laissées par des avions de chasse. Je lui répondis que pour moi, c’était plutôt celles laissées par des avions de lignes. Elle me donna son argument, je lui donnai le mien. Et puis, serait-ce un embryon de sagesse issu de la pratique du Dharma merveilleux, nous sommes passés à un autre sujet de conversation. Nous savions pertinemment que nous n’aurions pas la réponse correcte et que dans tous les cas, ça n’avait absolument aucune importance.

 

Mais nous connaissons nombre de couples ne pratiquant pas, qui aurait poursuivi le débat, tentant à tout prix de faire admettre à l’autre, partenaire devenu adversaire, qu’il avait tort. En général, ça se termine par le sempiternel « de toute façon, tu veux toujours avoir raison » et « tu es bien comme ta mère ». Après quoi, on se fait la tête jusqu’à la prochaine réconciliation, suivi à plus ou moins brève échéance par la nouvelle querelle. A la longue, les réconciliations deviennent des trêves. Ça se termine parfois par un divorce pour « incompatibilité d’humeur », souvent par une accumulation de rancœurs qui finit par rendre aigri envers la vie, envers l’autre, envers la vie avec l’autre. On ne se parle plus, on s’invective. « C’est pas de la haine, mais ça viendra ».

 

Le drame est que la cause de cette relation malsaine au sein du couple, qui est l’illusion de l’ego entretenue par de mauvaises croyances et exaspéré par les trois poisons, se retrouve à tous les niveaux de la société et du monde. On ne peut que constater et ce sur tous les continents, la ruine des couples, des familles des civilisations toutes entières et de tous leurs systèmes, économiques, culturels, éducationnels, sociaux etc. Et tout ça pour de l’attachement à des choses provisoires et aussi éphémères que des traces de fumées dans le ciel qui s’effaceront avec le vent et avec le temps.

 

Ah ! Si les gens vivant sur cette planète connaissaient les enseignements du Bouddhisme et pratiquaient la doctrine du Bouddha originel Nichiren Daishônin, imaginez dans quel monde idéal nous vivrions. Comme il l’enseigne lui-même : « lorsque tous les hommes sous le ciel auront abandonné les enseignements provisoires et pris refuge dans le véhicule unique du Bouddha, que seul le Dharma Merveilleux prévaudra, tous les hommes réciteront ensemble Nam Myôhôrengekyô. Alors, le vent qui souffle ne fera plus bruisser les branches, la pluie qui tombe ne brisera plus les mottes de terre et le monde deviendra comme aux époques de Fu Xi et de Shennong : dans cette vie le malheur des catastrophes sera balayé et on obtiendra l’art de vivre vieux. Réalisez que le temps viendra où le principe selon lequel la Personne et le Dharma, tous deux, ne vieillissent ni ne meurent sera révélé. Il ne faut pas douter de phrases attestant de la paix et de la quiétude en cette vie ».

 

Ainsi :

 

« Les trois mondes se révéleront tous être le monde du Bouddha. Comment le monde du Bouddha pourrait-il péricliter ? Les dix directions se révéleront toutes être la terre précieuse. Comment la terre précieuse pourrait-elle être détruite ? Si le pays ne décline pas et que le territoire ne subit pas de ruine, votre corps sera en sécurité et votre esprit serein. Vous devez croire, vous devez respecter ces mots, ces paroles».

 

Ce monde idéal s’appelle la terre du Bouddha, ne pouvant être réalisée que par la vaste propagation du Dharma merveilleux de Nichiren Daishônin.

 

Si nous, membres du Hokkekô pratiquants de la Nichiren Shôshû ayant foi dans les trois Trésors de Nichiren Daishônin prenons tous conscience que nous sommes les seuls à pouvoir réaliser cette terre du Bouddha, alors Kôsen Rufu passera du stade de l’utopie à celui de l’espoir. Et si nous nous mettons tous concrètement à l’œuvre pour y parvenir, l’espoir pourra devenir réalité.

 

La seule manière d’y parvenir est « shakubuku » par la réfutation des mauvaises doctrines et la révélation de la rectitude, en nous conformant aux directives du Grand Patriarche, relayée par notre maître direct, le supérieur de notre temple.

 

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lun.

03

août

2015

Soka Gakkai, hier et aujourd’hui

Ce qui détruira la Soka Gakkai n’est pas tant les critiques que l’on peut émettre de l’extérieur, mais bien ses propres contradictions.

Voici un petit rappel des professions de foi formulées par ses cinq premiers présidents. On s'aperçoit qu'étrangement, aujourd'hui, les responsables et les membres de la Soka Gakkai récitent en chœur et font l'exact contraire de ces précieuses directives.

 

Déclarations de Tsunesaburo Makiguchi, premier Président de la Soka Gakkai

Doctrine

Comment des gens comme nous, avons pu prouver, comme une loi infaillible, que nous pouvons mener une vie quotidienne dans le plus grand bien ? Pour comprendre cela, il faut savoir que le seul Dharma ésotérique, autrement dit le Dharma merveilleux, enseignement ultime du bouddhisme a été transmis uniquement au temple Taisekiji de la Nichiren Shôshû.

(“Daizen Seikatsu Jisshoroku

[“Démonstration des preuves actuelles sur la vie quotidienne dans le grand bien ”],

Rapport de la 4ème réunion générale, p. 13)

Détermination

À tous les égards, nous voulons servir et suivre la doctrine du Taisekiji de la Nichiren Shôshû, qui a été correctement transmise par le Deuxième Grand Patriarche Nikkô Shônin. Nous voulons ensuite mener notre vie de grand bien en pratiquant le bouddhisme pour nous-mêmes et pour autrui afin que nous puissions contribuer à la réforme de l'éducation au Japon.

(“Daizen Seikatsu Jisshoroku

[“Démonstration des preuves actuelles sur la vie quotidienne dans le grand bien ”],

Rapport de la 5ème réunion générale, p. 13)

 *****

Déclarations de Jôsei Toda, 2ème Président de la Soka Gakkai

Doctrine

La religion qui s’est perpétuée correctement dans une lignée ininterrompue de plus de six cents ans, depuis l'époque de Nichiren Daishônin, est la Nichiren Shôshû (...) Nous expérimentons jours et nuits par notre pratique, que ce bouddhisme est l'enseignement qui nous mènera vers le véritable bonheur.

(Cours de Jôsei Toda)

Détermination

Tant que nous ne faisons pas Tozan au Temple principal et prions directement le Dai Gohonzon, nous ne pourrons jamais développer la vraie foi (...) Je veux établir un projet pour que le plus de membres possible fassent Tozan au Temple Principal.

(Œuvres complètes de Jôsei Toda)

Nous sommes comme les tireurs de pousse-pousse menant les personnes ignorantes vers la voie correcte. Lorsque nous rencontrons des gens plongés dans la confusion, nous les mettons dans notre pousse-pousse et les amenons directement au Dai-Gohonzon ; telle est la seule mission de la Soka Gakkai. Que quelqu’un pénètre ou non dans une mine d'or pour y trouver un trésor est le résultat de sa foi. La vénérable mission de la Soka Gakkai est seulement de guider les gens vers le trésor, autrement dit le Dai Gohonzon.

(Cours de Jôsei Toda)

 *****

Déclarations de Daisaku Ikeda, 3ème Président de la Soka Gakkai

Doctrine

Il va sans dire que le cœur essentiel de la Nichiren Shôshû Soka Gakkai est le Dai Gohonzon du Kaidan de la doctrine originelle, objet suprême de vénération dans le monde entier. Ce Dai Gohonzon est solennellement enchâssé au Taisekiji de la Nichiren Shôshû. L’héritage du Dharma a été transmis de Nichiren Daishônin au deuxième Grand Patriarche Nikkô Shônin, au troisième Grand Patriarche Nichimoku Shônin et à tous les grands patriarches successifs. Aujourd’hui, l'ensemble de l’héritage a été transmis au Soixante-septième Grand Patriarche Nikken Shônin. Par conséquent, je vous demande d'étudier le bouddhisme, d'approfondir votre foi et de vous efforcer vigoureusement pour kôsen-rufu dans chaque pays et chaque région, dans un esprit élevé, en suivant les directives de l'actuel Grand Patriarche, qui perpétue la tradition et la doctrine de la Nichiren Shôshû.

     (Kosen-rufu et la vie quotidienne, vol. 1, p.131)

Le point fondamental de la Nichiren Shôshû est la transmission vitale du Dharma confié à la personne unique. Respecter le Grand Patriarche qui a hérité de la transmission vitale est l’attitude que doivent avoir les moines et laïcs. Si nous échouons sur ce point, tout ira mal. Je suis convaincu que la Soka Gakkai prospérera pour toute l'éternité, du fait qu’elle a fidèlement suivi les grands patriarches successifs.

(Idem supra)

Détermination

Le dojo fondamental est le Taho Fuji Dainichirenge-zan Taisekiji où le Dai Gohonzon du Kaidan de la doctrine originelle, objet suprême de vénération dans le monde entier, est enchâssé. La personne qui a hérité du siège de la Loi est le Souverain du Dharma Nikken Shônin. En tant qu’organisation laïque de la Nichiren Shôshû, la mission de la Soka Gakkai réside dans l’établissement des fondations pour la culture et la paix, liant le bonheur individuel et la paix mondiale fondés sur le Dharma correct, pour la réalisation de la paix éternelle de l'humanité, en suivant les directives du Grand Patriarche.

(Idem supra)

Cependant, nous ne devons pas oublier les points suivants représentant notre ferme conviction. Ce sont: 1) Le Dai Gohonzon des trois grands Dharmas ésotériques est le noyau essentiel de toutes choses; 2) Nous devons apprendre les traditions et doctrines de la Nichiren Shôshû, sous la direction du Grand Patriarche; 3) Sur la base de ces deux éléments, la Soka Gakkai doit développer ses activités pour kôsen-rufu.

(Idem supra)

*****

Extraits de l’article de la Soka Gakkai intitulé “Éléments de bases de l’étude du bouddhisme”, publié le 30/06/1978

1) Le terme "maître éternel" a été utilisé dans certains cas en référence au président. Cette expression a été utilisée pour indiquer la relation profonde entre le maître et ses disciples. Toutefois, cette expression était un peu trop excessive. Dans la Nichiren Shôshû, le maître éternel désigne Nichiren Daishônin. Ainsi, nous n’utiliserons plus jamais cette expression à l'avenir.

(Seikyô Shimbun, 30 Juin 1978)

Dans la Nichiren Shôshû, le terme "grand maître" se réfère à Nichiren Daishônin, ainsi qu’à Nikkô Shônin en termes généraux et spécifiques. Par conséquent, nous ne devons pas utiliser ce terme pour désigner le premier président [de la Soka Gakkai] à l'avenir.

(Idem supra)

2) L'expression ou les mots qui impliquaient la transmission vitale dans la relation de maître à disciple entre le premier président Makiguchi et le deuxième président Toda était l'expression d'un aspect reflétant la détermination et la promesse entre le maître et le disciple et de leur pratique réelle pour la réalisation de Kôsen-rufu.

(Idem supra)

*****

Déclarations de Hiroshi Hôjô, 4ème Président de la Soka Gakkai

Doctrine

Je entendu dire que certaines personnes se comportent et parlent comme si elles niaient l’héritage du Dharma transmis à la personne unique, en ce qui concerne le Grand Patriarche Nikken Shônin. Cependant, comme nous l’avons promis, nous sommes déterminés à protéger le Grand Patriarche Nikken Shônin quoi qu’il advienne et à mener à bien la noble mission de la Soka Gakkai, qui est de strictement protéger le Temple Principal.

(Dai Byakurenge, Janvier 1981)

Il est bien sûr étonnant que la voie permettant d’expier le karma négatif de chacun et d’atteindre le vrai bonheur ait été ouverte dans le monde entier dans un si court laps de temps. Ce n’est en fait que grâce à l'infinie et profonde compassion de Nichiren Daishônin, le Bouddha originel et le pouvoir absolu de la loi du Dai Gohonzon. C’est également dû à la compassion des grands patriarches successifs de la Nichiren Shôshû. Nous devons leur exprimer notre profonde gratitude pour cela.

(Dai Byakurenge, Mai 1981)

Détermination

En 1952, la Soka Gakkai a acquis le statut juridique de société religieuse indépendante. Dès sa création, nous avons promis à la Nichiren Shôshû de nous conformer à trois principes fondamentaux: 1) Tous les convertis se joindront à la congrégation d'un temple local; 2) Tous les membres doivent respecter les doctrines du Taisekiji, temple principal de la Nichiren Shôshû; 3) Tous les membres doivent protéger les trois trésors du Bouddha, du Dharma, et du moine. Depuis lors, sur la base de ces trois principes fondamentaux, la Soka Gakkai a fait des efforts pour protéger le temple principal et progresser vers la réalisation de Kôsen-rufu.

   (Seikyo Shimbun, Novembre 1978)

Il va sans dire que kôsen-rufu, notre plus cher désir, consiste à enseigner aux gens dans le monde entier le Dharma correct et la rectitude de la Nichiren Shôshû.

     (Dai-Nibyakurenge, Juin 1979)

Chaque membre de la Soka Gakkai doit prendre à cœur les vastes orientations données par le grand Patriarche Nittatsu Shônin au cours de sa vie, faire des efforts concertés pour établir une unité idéale entre les moines et les laïcs, sous la direction du soixante-septième Grand Patriarche Nikken Shônin, et se consacrer à la pratique, dans la perspective de la réalisation de Kôsen-rufu, vœu de Nichiren Daishônin. Progressons dans un esprit élevé, sur le grand chemin de la pratique réelle pour propager le Dharma correct, fondés sur la conviction que c’est le moyen de rembourser notre dette de reconnaissance envers la grande compassion du Nittatsu Shônin.

     (Dai-Byakurenge, Septembre 1979)

*****

Déclarations de Einosuke Akiya, 5ème Président de la Soka Gakkai

Doctrine

Il est indéniable que Nichiren Daishônin a établi le Dai Gohonzon du Kaidan de la doctrine originelle le 12 Octobre de la deuxième année de Kôan (1279) et l’a dédié à toutes les personnes dans la période de la Fin du Dharma afin de leur permettre d’obtenir l’éveil.

     (Dai-Byakurenge, Février 1956)

Le Dai-Gohonzon des Trois grands Dharmas ésotériques a été correctement et purement transmis de Nichiren Daishônin à Nikko Shônin, puis à Nichimoku Shônin, jusqu'à notre Soixante-sixième Grand Patriarche Nittatsu Shônin. En dehors du Taisekiji, temple principal de l’Ecole Fuji, ni le Dai Gohonzon, ni le Daimoku ni même la Nichiren Shôshû ne peuvent exister.

     (Quarante-huit questions concernant la Soka Gakkai)

Détermination

La Soka Gakkai est la plus pure organisation laïque de la Nichiren Shôshû. C’est parce qu’elle embrasse et révère le Dai Gohonzon de Nichiren Daishônin, fait des efforts sincères pour suivre les Grands Patriarches successifs, et protège la Nichiren Shôshû. Les présidents successifs de la Soka Gakkai ont déclaré que le service au Temple Principal est le principe fondamental de la Soka Gakkai.

(Idem supra)

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mar.

21

juil.

2015

Les fondements de la foi

Le pèlerinage au temple principal

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mer.

15

juil.

2015

Vulgarité, suffisance et mépris… La preuve par l’image

Le 27 janvier 1993, soit deux ans après son excommunication par la Nichiren Shôshû, Daisaku Ikeda donnait un  discours lors de la réunion générale conjointe SGI USA – Kansai à Los Angeles (Californie).

 

Le court extrait montré ci-dessous laisse pantois devant ce summum de vulgarité, tant dans le propos que dans la gestuelle, de mépris des autres et de suffisance. On a l’impression qu’il se lâche (ou plutôt qu’il ne se sent plus), n’ayant plus le garde-fou que représentait pour lui le Grand Patriarche de la Nichiren Shôshû.

 

Bien entendu, le discours a été retravaillé et les parties gênantes modifiées ou supprimées lors de sa publication dans les diverses langues.

 

Mais la vidéo elle-même ne peut tromper personne.  

 

L’extrait commence par un auto-satisfécit d’une suffisance extraordinaire (0:00 à 0:22) : « mes discours sont raffinés, facilement compréhensibles et puis philosophiques, d’un style littéraire et poétique, conviviaux. Si on n’est pas suffisamment intelligent, on ne peut pas suivre ».

 

Après une allusion aux discours qui endorment, gestuelle à l’appui, il donne une courte directive sur la manière de réciter Daimoku en priant le Gohonzon.

 

Puis (2:05 à 2:24), il remercie les membres de San Francisco pour leur hospitalité envers les membres du Kansai et les remercie à  l’avance de leur accueil des membres de la région du centre du Japon (Chûbû) au mois de mars suivant, ajoutant : « je vous le dis à voix basse, plus vous les flattez, plus vous recevrez de dons pour Kofu ». Et il dit à l’interprète : « surtout, ne traduis pas ça » ! Ce qui prouve qu’il s’adresse uniquement aux membres Japonais présents et qu’il méprise les membres Américains.

 

Il salue ensuite les diverses représentations Américaines, en commençant par Washington (2:55 à 3:31) Il dit : « Ah ! Au fait, comment il va Clinton » ? Il faut préciser qu’au Japon, ne pas faire suivre un nom propre par un suffixe ou par le titre de la personne concernée est une marque d’irrespect sans égal. Même les bébés ou les animaux de compagnies sont appelés par leur nom suivi d’un suffixe. Là, non. Or, il s’agit du Président des Etats-Unis en fonctions à l’époque. Daisaku ikeda en parle comme s’il s’agissait d’un vieux copain ou d’un moins que rien, au choix. Sans doute parce que Bill Clinton a refusé de le rencontrer. Il poursuit : « un tel beau parleur capable de tromper copieusement autant de gens, j’espère qu’il ne va pas se faire prendre par la police » (3:07). La traductrice (quand Daisaku Ikeda la laisse parler) a beaucoup de mérite de transformer cette sortie en compliment pour le président des Etats-Unis. Il poursuit : « Soyez de beaux parleur, soyez encore plus beaux parleurs que Clinton pour faire shakubuku, pour donner des directives ».

 

Il s’adresse ensuite aux membres de New York en faisant un jeu de mot, uniquement compréhensible par les membres Japonais (3:34 à 3:45). « Ah New York ! Les gens de New York sont propres, puisque tous les jours ils prennent un bain ». Il faut savoir que la prononciation japonaise de New York (nyû yoku) est homophone de l’expression prendre un bain, d’où le jeu de mot navrant.

 

Il salue ensuite les membres d’Hawai (4:15 à 5:02) : « Félicitation pour la victoire d’Akebono (un lutteur Hawaïen NDT) au grand tournoi de Sumo. Merci pour le grand centre culturel, merci pour la grande fête culturelle ». Il continue en remerciant en Hawaïen et en faisant un nouveau jeu de mot (4:48) : « Mahola ». Il s’aperçoit qu’il s’est trompé et rectifie : Mahalo (merci), Mahalo (merci), Bakayarô (espèce de connard), Mahalo (merci).

 

Il conclut son speech disant (5:01) : « Bon ! Comme ça commence à m’emmerder,  la suite du texte sera publiée dans le journal ».

 

Je pense que tout commentaire est superflu, tant les images parlent d’elles-mêmes.

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mar.

07

juil.

2015

Mise au point sur le blog

La grenouille au fond du puits ne connaît pas la mer

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